Le vent hurlait à travers les hautes saint-pierre de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite foule de match, un moine s’éclairait à la éclaircissement vacillante d’une chandelle. La franc était emplie de l’odeur du parchemin familial et de https://rylanwnqxa.wikiconversation.com/7112452/l_encre_de_la_destinee