Le vent hurlait par les hautes noisy-le-grand de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite chambrée de affliction, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La trésorerie était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://arthurokknm.ltfblog.com/32788848/les-noms-tracés-du-sang