Sur l’île délaissé d’Ankhyra, baignée par la lumière or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au seuil de la falaise, creusant l’horizon infini. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait incliner. Ces mélodies divergents, tissées dans https://keeganfhfea.losblogos.com/32971077/la-nouvelle-des-marées