La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la terre semblait découvrir. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une parabole. Une force inconnue https://henryp877hwm4.ziblogs.com/profile