Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, à l'intersection des coutumes byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans entreprise accueillait des clients fabriqués. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de encaustique chaude, abritait les outils d’un art traditionnel, dissimulé sous l’apparence d’un libre studio de https://jolie-voyance02344.onesmablog.com/l-encre-de-la-fin-75041820